@ flap : ce qui serait bien, c'est que soit tu postes, soit tu ne postes pas, mais stp, cesse de poster puis de retirer tes contributions car on ne peut plus suivre la cohérence des argumentations de chacun.
Si j'ai bien réussi à comprendre, à un moment, vous faites un parallèle entre l'écoulement du trafic des véhicules et les règles de la mécanique des fluides ?
Je n'ai pas fait de grandes études, mais pour paraphraser certains, dans la théorie, c'est peut-être possible, mais dans la réalité, c'est purement et simplement incomparable et impossible, les véhicules n'ayant pas les propriétés physiques des fluides...
Et oui, dans des conditions de circulations très spécifiques (comme lorsqu'il y a des bouchons ou des phases de circulations en accordéon), l'abaissement de la vitesse en amont permet une meilleure fluidité du trafic puisque le flot de véhicules arrive moins vite sur le point noir, ce dernier pouvant commencer à se résorber (voire disparaître) grâce au temps gagné par le ralentissement des véhicules en amont.
Ne pas assimiler fluidité et vitesse qui sont 2 notions différentes.
Mais surtout, ce qui m'étonne, c'est que personne n'a l'air de prendre en compte le facteur humain.
Vous savez, celui qui ne répond à aucune logique scientifique.
Nous ne sommes pas tous égaux derrière un volant ou un guidon, que cela soit d'un point de vue purement technique ou d'un point de vue "comportemental".
Et donc, de ce point de vue le "problème" comme l'appelait zampa, est insoluble (au sens strict du terme : LA solution ne peut pas exister), sauf à se déplacer à la vitesse zéro.
Après, c'est vrai que dans l'absolu, l'idéal serait de pouvoir adapter des vitesses limites différentes sur un même point en fonction des conditions de circulation, mais même si c'est techniquement réalisable (mise en place de PMV par exemple), c'est le nombre d'équipements à mettre en place qui rend la chose difficile voire impossible (et le budget...).
Peut être que les vitesses max ont été déterminées de façon arbitraire, cependant, il ne faut pas perdre de vue que la route est un endroit que l'on partage (j'en reviens aux différents niveaux de maîtrise selon les gens), et que chacun doit pouvoir rester maître de son engin quel qu'il soit en toute circonstance (ce principe me parait plutôt cohérent), et donc peut-être que ces vitesses ont été déterminées à ces niveaux pour que les plus nombreux puissent s'en sortir dans tous les cas de figure.
Mais bon, ça reste de la masturbation intellectuelle.
Dans le monde "parfait", la vitesse max serait accordée à chaque individu en fonction de ses capacités (mais je pense que certains orgueilleux auraient du mal à l'accepter... on en revient encore et toujours à la nature humaine...).
Comme dit Pierrot : plus ça tape vite, plus ça fait mal.
Le point où je ne te rejoins pas, zampa, c'est au sujet des radars feux rouges : tu cites un cas où c'est l'effet inverse du but recherché qui a été atteint avec une recrudescence d'accidents là où un radar feu a été implanté.
Pour moi, c'est la plus belle preuve de la bêtise des gens...