Il faut toujours relativiser !
En Colombie, deux narcotrafiquants arrivent à un ranch en amenant un prisonnier.
A l’intérieur du ranch, il y a un colosse noir de 1,98 m et 140 kilos de muscles, mélange de Mongol et d’Africain, qui se cure les ongles avec un grand couteau de boucher.
« Dis donc, le chef demande que tu encules ce prisonnier pour lui apprendre à ne pas faire le malin avec notre bande » !
OK, mettez-le dans un coin je m’en occupe tout-à l’heure »
Quand les narcotrafiquants s’en vont, le type implore :
S’il vous plaît, Monsieur, ne faites pas ça, si vous m’enculez, je suis déshonoré et ma vie est finie, ayez pitié pour l’amour de Dieu.
« Ferme ta gueule, pédé, et tiens-toi tranquille »
Un moment plus tard, les deux narcotrafiquants reviennent avec un autre infortuné prisonnier.
Dis donc, le chef a ordonné qu’à celui-là, tu lui coupes les deux mains et tu lui crèves les yeux pour lui apprendre à ne pas toucher à l’argent de la drogue »
« Laisse-le là, je m’en occupe dans un instant »
Une heure plus tard, ils ramènent un autre prisonnier.
« à celui-ci tu lui coupes les couilles et la langue, pour lui apprendre à ne plus jamais fricoter avec les gonzesses du quartier »
« C’est bon, foutez-le dans le coin avec les autres »
Finalement, ils en amènent un quatrième.
« Dis donc, celui-là tu le coupes en petits morceaux et tu les envoies à sa famille » !
À ce moment, le premier type dit au noir à voix basse :
« Monsieur le Noir, s’il vous plaît, n’allez surtout pas confondre!
Celui que vous devez enculer, c’est moi!!! D’accord ?»
MORALITÉ :
Au fur et à mesure que vous connaissez les problèmes des autres, vous vous rendez compte que le votre n’est pas si grave…