Auteur Sujet: Ducati 848 : la bombinetta.  (Lu 16339 fois)

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Ducati 848 : la bombinetta.
« le: 19 novembre 2007 à 21:27:32 »
Sous la pression de mes admirateurs, je balance ici le CR que je viens de pondre pour d'autres pages Web... Des fois que quelques autres tripatteux se laissent comme moi parfois éblouir par le charme tout latin de certains bi-cylindres.  :wink:

Ma douce moitié ayant été malade ces derniers jours et mon dernier WE normand étant à l’eau, qu'allais-je faire en Ile de France un samedi ensoleillé de novembre au lendemain de l’arrivée de la déjà mythique Ducati 848 en concession ? Réponse : un coup de fil à mon ami Yannick - ducatiste émérite et passionné, bien sûr ! Depuis gngngnnn mois que nous attendions le débarquement en France de la belle bolognaise, on n’allait tout de même pas faire inutilement durer le plaisir, hein ?!   8)

Donc, ce samedi matin, j’enfourche Lady Jane en direction de l’ouest parisien pour aller ramasser le vénérable ducatiste chez lui et filer chez son cons’ favori. Ces deux là se vouent un amour sans limites. ‘Faut dire que quand on connaît le côté monomaniaque de Yannick pour tout ce qui touche à la production de la marque, on peut fort bien imaginer que la concession de Chambourcy (oh oui !) lui porte un attachement tout particulier… :mrgreen:

Un coup de fil là bas nous apprend que le thermomètre y affiche crânement un –6° C en ce début de matinée. La moindre flaque d’eau a été transformée en patinoire à lapins. En dépit d’un splendide soleil, l’air vous glace dès qu’on dépasse les 50 km/h. Pour l’occasion, j’étrenne ma nouvelle paire de gants hiver « Furygan – Land ». Evidemment, le ressenti des commandes n’est pas idoine, mais c’est le lot de toute paire de gants d’hiver, et je vous les recommande – c’est le cas de le dire – très « chaudement » ! Mes mimines fragiles n’auront pas vraiment le temps de souffrir du froid ce jour là.

Un café plus tard et le soleil étant un peu monté dans le ciel, nous arrivons donc chez Ducati où trône une superbe paire de 848 fraîchement déballées de leurs caisses. Une blanc nacré, réservée aux essais, et une rouge qui a ma préférence. Ce dernier est plus classique et intemporel pour les amoureux de la marque mais la version originale blanche sur laquelle Ducati communique d’ailleurs grandement est beaucoup plus belle en vrai que sur les photos. La lumière joue de reflets irisés sur la peinture nacrée et les éléments noirs mats contrastent joliment avec la robe. Ne manquent que quelques pièces carbone pour compléter  l’œuvre. On dira ce qu’on veut, en matière de charme féminin, de pastas et de ligne des motos sportives, l’Italie se place résolument un ton au dessus des autres pays.



Que dire en quelques mots de la nouvelle bomba bolognaise tout juste révélée au salon de Milan et digne héritière de la déjà célèbre 1098 ? Une copie conforme de sa grande sœur avec quelques sources d’économie toutefois et une machine qui pour être moins « exclusive » n’en offre pas moins d’alléchantes caractéristiques : 134 bourrins en version libre pour 168 kgs à sec - soit en gros le poids d’un Gex 750 : c’est 30% de mieux qu’une 749 pour seulement 100 cm3 de plus, et un rapport puissance / poids déjà supérieur à la mythique 999. Ils ont fait de gros efforts sur le nouveau Testastretta Evoluzione, chez Ducat’ ! Un couple de 9,8 mkg (on est sur un twin, quand même !) dans la version « partout-sauf-chez-nous » (environ probablement 1 mkg de moins dans l’Hexagone). Côté dotation, des superbes jantes Marchesini et un freinage Brembo radial – « mais pas monobloc » me précisent les puristes. Fourche Showa inversée et amorto arrière de même provenance. Gageons qu’ils nous sortiront en 2009 une version « S » équipée d’origine par Ohlins pour pas mal de billets en plus…

Côté billets justement, la 848 « de base » est affichée au prix de 14.000 euros avant papotage, ce qui la place en gros au prix d’une R1 « seulement » (notez les guillemets). On gagne en beauté et en exclusivité (tout les goûts sont dans la nature, je sais) ce qu’on y laisse en performances ; quoiqu’à ce stade…  :roll:

Vous constaterez enfin sur les photos que la 848 est conçue dès le départ en version « biposto » ce qui laisse espérer la possibilité de transporter un passager pas trop regardant sur une dizaine de bornes environ. L’assise est minimaliste, et à la vue des premières photos, Marz, mon épouse, n’a pas manqué de pousser les cris d’horreur qui vont bien. :mrgreen:

Bon. Les présentations étant faites, passons à la pratique. La diva est avancée pour nous. Elle affiche généreusement… 4 kilomètres au compteur. Autant dire qu’elle est en plein début de rodage (et le rodage chez Ducati n’est pas un vain mot), que les pneus sont neufs (les étiquettes sont à peine retirées), ainsi que les plaquettes de freins. Par ailleurs, pour bucoliques qu’ils soient, les environs de Chantilly sont moins ludiques que le circuit d’Almeria ou les routes auvergnates ; sans compter que moult camions, automobiles et même tracteurs encombrent un peu trop la « pista ». Le concessionnaire nous accorde une heure et nous demande de respecter le rodage de la titine : « mouais… Tachez pas trop dépasser les 5500 tours ». Nous jurons. Bref : plus que d’un véritable essai, il s’agira aujourd’hui d’une « prise de contact ». Quelques papiers à signer comme quoi nous nous engageons à ne pas nous adonner au stunt avec le joujou. Assez palabré : place aux choses sérieuses.



Nous sommes convenus que Yannick dépucellera la belle transalpine après quoi viendra mon tour. Je suivrai donc au guidon de Lady Jane. D’entrée de jeu, on sent que si Yannick est un connaisseur en matière de twins bolognais, c’est son premier contact avec une Superbike et une sportive. Il met un peu de temps à trouver ses marques, habitué à son « hypermotard » il se raidit un peu dans les virages, et je le vois devant moi cherchant je-ne-sais-quoi de droite et de gauche. Mais pour une prise en mains la bébête laisse deviner son potentiel. Après nous être extirpés d’une circulation dense sur la N13, nous gagnons les environs où s’alignent une poignée de petits virolos et quelques grandes courbes. Trop de monde, malheureusement, sur ces petites départementales pour pousser la chansonnette aussi fort qu’on le voudrait avec pareille Diva !

Une bonne demie heure plus tard nous repassons par la concession pour changer de monture. Yannick retrouve ses chaussons et son twin habituel, tandis que je m’installe enfin au guidon de la fameuse 848…

La position est sans surprise en venant de la Daytona. En appui, bien sûr mais sans exagération. L’assise est franchement haute (830 mm !) mais la légèreté de l’ensemble et sa finesse, conjuguées à la forme échancrée du réservoir, caractéristique des superbikes de la marque, permettent de placer intuitivement ses guiboles, de faire corps avec la machine et de manœuvrer le tout sans effort et sans appréhension. Aucune douleur d’assise après l’essai : en dépit de son aspect « tabouret sur un escabeau », la selle s’avèrera beaucoup moins inconfortable qu’on ne pouvait s’y attendre. Quant au strapontin passager, il est si étroit qu’on peut difficilement en espérer autre chose qu’une scoliose et quelques hémorroïdes.

Contact : le tableau de bord façon « tout digital avec des tas de voyants en prime », désormais courant chez Ducati, s’allume comme un sapin de Noël multicolore et affiche pléthore de signes avant de s’initialiser et de vous gratifier d’un message déroulant genre « Bienvenue à bord de la Ducati 848 »… Ou quelque chose d’approchant. C’est beau, la technologie ! Au guidon gauche, un sélecteur que je ne découvrirai qu’après l’essai permet de commuter l’écran pour y afficher des tas d’informations sportives. Mais non ! Pas le résultat de la 13° journée de Ligue 1, mais les fonctions de chronométrage et toutes ces petites données sur votre parcours que vous pouvez également enregistrer sur clé USB pour visualiser ensuite confortablement sur votre écran favori votre arsouille du jour sous forme de courbes et de chiffres. Sympa pour vous croire en compète avec team et ingénieurs. En revanche on aurait aimé trouver ces informations plus utiles pour le commun des mortels : une jauge d’essence, voire un témoin de rapport engagé. Sinon le compte tour est à barres défilant linéairement. Pas vraiment intuitif mais je suppose qu’on finit par s’y faire. A l’usage il s’avère même nettement plus lisible que celui d’un FZ6 « première version ».



Pas d’amortisseur de direction. Il faudra sans doute là encore attendre une hypothétique version « S » ou taper encore dans son compte bancaire déjà mis à mal.

On appuie (longuement) sur le démarreur et le petit monstre se réveille dans un bruit d’hélicoptère genre « Apocalypse Now ». Bruyant mais incontestablement classe. La 848 vous chante tout de suite son identité. Yannick trouve qu’elle fait exactement le même son d’origine que sa nouvelle ligne Termignoni sans chicanes : c’est vous dire.

Dans ma tête, je branche mon cerveau et mon oreille interne sur « La force du destin » de Giuseppe Verdi. Un air d’opéra italien, c’est de circonstance. Première, seconde… Les rapports passent sans accroche et de façon très souple pour une Ducati (paraît il). L’embrayage de la 848 est à bain d’huile. De fait la boîte de vitesse est nettement moins « virile » que celle des Triumphs (même récentes) sans atteindre toutefois ce côté tellement délicat de certaines nippones sur lesquelles on en arrive à se demander parfois à leur guidon si on a oui ou non passé le rapport !

Du côté de la commande d’embrayage, çà se gâte. Enfin… pour le « non initié » que je suis. Bien qu’il soit hydraulique et jugé très souple par Yannick – le - ducatiste, je ne devrai qu’à la brièveté de mon essai (une heure tout au plus) de ne pas rentrer avec une tendinite ! Ducati propose donc pour les petites mains délicates comme les miennes une pompe d’assistance pour environ 180 euros, grace à laquelle l’effort est divisé par deux. C’est bon à savoir car à moins de se muscler longuement la main gauche avant d’aller signer le (gros) chèque chez le cons’, le moindre parcours urbain se transformera en supplice.

Autre supplice en vue, encore qu’il soit extrêmement bienvenu en ce jour de grands froids : le chauffage de la selle est incorporé et… très efficace ! Merci les pots qui serpentent au-dessous. Alors que la glace n’a pas encore fondu sur le bord des routes en ce samedi matin, c’est un vrai bonheur - mais je m’imagine mal chevaucher la 848 tout vêtu de cuir sous un beau ciel de juillet.

Et puisque les premiers kilomètres se déroulent encore dans une circulation dense, achevons le tableau des récriminations : les miroirs qui sont fixés de part et d’autre de la bulle ne sont là que pour décorer l’arrière des (superbes) clignotants et satisfaire aux obligations légales d’homologation. Abandonnez définitivement tout espoir d’apercevoir autre chose que vos coudes ou un coin de ciel (au choix, cependant). Même sur la 999, ils étaient plus efficaces, dit-on. En utilisation courante, nul doute que ce sera un vrai problème. On me rétorquera qu’on achète pas une superbike pour se faire doubler, je sais, je sais…  :wink:

Enfin la route se dégage un peu… Et pour moi c’est le vrai baptême du twin. C’est vivant comme une anguille, çà vibre comme une tondeuse, çà pousse partout… et on sent vite qu’il ne faudrait pas beaucoup plus tourner la poignée pour que le bestiau lève le nez. C’est sans doute le moteur le plus adapté à « l’esprit » de la moto en général (je ne vais pas me faire des amis). Et pourtant celui de la 848 ne me gratifie pas de tous ces cognements à bas régimes que j’attendais sans impatience. Il reste souple. Ou disons « pas si rêche ». Presque facile. Evidemment, si l’on ne prend pas soin de décomposer un peu son rétrogradage ou de calmer son poignet droit en sortie de virage, il vous rappelle vite qu’on ne peut impunément le traiter comme un 4 pattes. Heureusement, le passage par le coupleux 3 cylindres britannique m’a déjà un peu initié à ces sensations.

Bien sûr, on ne peut rivaliser en allonge et une fois atteints les 6000 tours fatidiques (c’est exaspérant de devoir ainsi conduire pareil joujou le nez sur le compte tours), on devine à la vitesse atteinte une célérité en pointe peut être pas si impressionnante sur cette petite sœur de la 1098, bridée qui plus est. Mais en cette fraîche matinée il m’apparaît évident que ce n’est pas la vocation de ce type de moteur si plein de « peps » par ailleurs. Et puis la puissance délivrée par le nouveau Testastretta est déjà impressionnante pour un twin et la vitesse maxi, après tout, on s’en fout quand même pas mal dans la réalité. Alors ne cherchons pas plus longtemps un hypothétique mouton à 5 pattes (Qui a dit « Il en existe à 3 pattes » dans le fond ?  :wink:)

Oupsss… L’air de rien, le véhicule devant moi se rapproche bigrement vite. Freinage. Arf. Excellent ! La moto reste parfaitement alignée et le frein avant est fort efficace pour faire dégringoler le tachymètre. L’attaque est franche. Tout le contraire du freinage pas inefficace mais trop spongieux des Triumph. Il paraît que les ducatistes émérites le jugent en retrait par rapport au monobloc Brembo qui équipe la 1098 ou l’hypermot’. (Qu’est ce que celui ci doit être !!) Quant au frein arrière, bien sûr c’est juste un vague ralentisseur mais c’est comme çà que je l’aime. Le blocage ne vous guette pas comme sur Feezzie, à la grande époque, et il est parfait pour corriger une trajectoire trop optimiste en virage.

Parlons de virages justement puisque se dessine un petit enchaînement (hélas bref). Là, bien sûr, l’hypersportive 848 excelle. Elle se révèle presque aussi facile que la Gex 600 à mettre sur l’angle et à changer d’inclinaison. Il suffit de pousser le guidon comme on pousserait un bouton et la belle s’inscrit dans la courbe sans hésitation et sans bouger d’un poil. Rien à voir là encore avec ma chère Daytona qui, quoique plus intuitive que la Sprint, exige un pilotage sensiblement plus physique pour compenser son inertie et son empattement. Magie de ces parties cycles modernes à la fois vives et stables. La 848 n’hésite pas plus en courbe qu’à l’accélération ou au freinage. Un superbe rail et un vrai régal.



Une petite pause pour les photos et on repart vers Chambourcy car le temps passe vite au guidon de la petite Diva. Après cette petite prise en mains, c’est le moment d’essayer de tirer un peu plus parti de sa sportivité, du caractère du moteur, et de sa partie cycle sûre. Un panneau annonce justement 1,5 kilomètres de virolos (on ne rigole pas, s’il vous plaît. Les non – franciliens ne peuvent pas comprendre :mrgreen:). Yannick me fait signe de passer devant et de filer à ma guise jusqu’au prochain bled. Let’s go. Premier virage et la 848 s’incline, imperturbable. Un bref coup d’œil au compteur : oupsssss ! 8000 tours ! Je ne vais quand même pas enchaîner ces petites courbes en 6° ?!! Et puis cette diablesse transalpine hérissée d’électronique, d’informatique, d’USB et de trucs digitaux a déjà certainement envoyé un mail automatique à la concession pour dénoncer l’irrespect de son rodage. Violenter une demoiselle qui n’a que quelques dizaines de bornes ? Allons donc ! OK… On retrouve un rythme plus tranquille. Un petit détour pour mettre un peu d’essence dans le bestiau (chic, la 848 nous évite ces horripilants systèmes anti refoulements qui rendent le remplissage si long et fastidieux !), un coup d’œil au 180 arrière pour vérifier si les flancs ont quand même un peu noirci et on retourne à la concession.

Monsieur Ducati nous fait gentiment remarquer que nous avons emprunté sa petite protégée durant deux heures (quand je vous disais qu’on ne sent plus le temps passer à son guidon), jette un œil aux pneus, passe la main au dessus des pots et de la selle et me demande si j’ai bien respecté le rodage. « Booooaaafff… Pas plus de 6000 tours » mens-je effrontément. Bon. Cà va. Mais faut éviter de dépasser les 5500, hein ?. Conclusion : Yannick et moi nous promettons de retourner essayer la 848… quand le moteur, les gommes et les plaquettes seront plus sérieusement rodées. Là, on restait quand même un peu sur notre faim.



On papote gros sous. Les 848 sont contingentés dans les concessions donc pas question d’espérer une quelconque réduction pour le moment. Cà tombe bien me dis-je en rentrant. Je suis enchanté de l’italienne mais encore une fois le plaisir coûteux de ce genre de machine se paye par une trop grande inadaptation aux contraintes du quotidien (trois fois maudits soient ces rétros !). Et puis si Lady Jane ne peut clairement rivaliser en agilité, en vivacité en virage, en rigueur et en freinage, elle conserve décidément ce bon gros moteur que j’adore quand il marie la patate du twin - pourvu qu’on le maintienne au delà de 4500 rpm - et l’allonge du 4 pattes avec sa capacité à monter dans les tours sans qu’on ait à trop se préoccuper de son régime quand on cherche à le relancer dans une courbe interminable, par exemple. Ce qui rend la Daytona encore amusante, même au quotidien. Bref : je suis toujours atteint du syndrome tripatteux : je garderai encore un moment ma bonne vieille anglaise.

Reste à connaître la tenue de la 848 et de sa fiabilité dans le temps. Les Testastrettas sont coûteux à entretenir et plus fragiles. Mais quand l’heure du remplacement de la Daytona sonnera, je pourrais regarder volontiers vers l’Italie et la 848. Finalement nous avons là une machine vive et ultra-précise pour une utilisation ludique tout en conservant un moteur carrément plus vivant et coupleux qu’un 4 cylindres de moyen cubage, donc sensiblement plus plaisant aux vitesses usuelles. En espérant qu’un prochain essai pourra le confirmer.

Il faut goûter à tout dans la vie m’a appris feu ma grand mère…   :P

V à tutti.  8)
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Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #1 le: 19 novembre 2007 à 21:42:14 »
Merci pour ce superbe CR  :super: putaing ça donne envie  :P  :applause:

Et  :+1: pour la peine  :wink:
C'est un Triumph !

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Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #2 le: 19 novembre 2007 à 21:43:21 »
848 !! MAMA MIA !
:siffle:

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Re : Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #3 le: 19 novembre 2007 à 21:43:44 »
Merci pour ce superbe CR  :super: putaing ça donne envie  :P  :applause:

Et  :+1: pour la peine  :wink:

Grazie !  :wink:
Slainte mhath !

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Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #4 le: 19 novembre 2007 à 21:47:33 »
Parole de grand mère est parole d'évangile. Tu as bien fais de suivre son conseil et de nous régaler de ton CR  8)

La 848 est  :smile: rhaaaa

Elle est belle : une tête à... arf
Le moteur a l'air top
Bandante quoi..

Mais
...
(je cherche..)


c'est pas mon utilisation de la moto, grands trips de 600 km +
pas mon budget : achat, entretien
 euh... c'est tout.

Mais j'aime bien mes 8 roues malgré tout  8)
Petit Vroooum today ?

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Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #5 le: 19 novembre 2007 à 21:56:44 »
Un vrai roman : suspens, émotion, ...
Tout y est  :applause:

Ah oui, j'oubliais  :+1:

Et aussi, j'en veux une  :cry: Blanche ça sera parfait  8)
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Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #6 le: 19 novembre 2007 à 22:08:05 »
AAAAAAAaaaarrrrrrrrrrrrgggggghhh!!!! :smile: :-)

Mais je sais pas si c'est raisonnable que je l'essaye! :mrgreen:
Tout bien que tu détiens est un soucis qui te retient...

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Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #7 le: 19 novembre 2007 à 22:09:10 »
Et encore moins de se l'acheter  :siffle:
:siffle:

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Re : Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #8 le: 19 novembre 2007 à 22:10:05 »
Et encore moins de se l'acheter  :siffle:
Ben c'est justement pour ça!  :mrgreen:
Surtout que ma future est déjà commandée. :siffle:
Tout bien que tu détiens est un soucis qui te retient...

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Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #9 le: 19 novembre 2007 à 22:11:05 »
Il va falloir mettre à jour ta signature  :mrgreen:

Gwladys et sa remplaçante sont à vendre: 2 * 675 daytona triple
:siffle:

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Re : Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #10 le: 19 novembre 2007 à 22:22:38 »
Un vrai roman : suspens, émotion, ...
Tout y est  :applause:

Ah oui, j'oubliais  :+1:

Et aussi, j'en veux une  :cry: Blanche ça sera parfait  8)

Merci aussi... Celà dit pour moi, la préférence va à la rouge et noire qui est  :super:
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Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #11 le: 19 novembre 2007 à 22:26:09 »
:+1: Bravo pour la prose très riche et pour partager un moment que beaucoup attendent, moi compris :p

Cette meule me fait flipper tellement elle est belle :smile:

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Re : Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #12 le: 19 novembre 2007 à 22:28:25 »
:+1: Bravo pour la prose très riche et pour partager un moment que beaucoup attendent, moi compris :p

Cette meule me fait flipper tellement elle est belle :smile:

Encore merci...  8) C'est vrai qu'esthétiquement, elle est... Comment dire... A son guidon, on est bô tout simplement.  :mrgreen:

Bon, ben je vais continuer à tester des bécanes de rêve pour ramasser des points, moi.  :mrgreen:
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fabonoff

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Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #13 le: 19 novembre 2007 à 22:34:04 »
merci à toi de retranscrire autant d'émotions dans ce monde asseptisé par des motos à l'architecture de BAR (4 en ligne)

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Re : Ducati 848 : la bombinetta.
« Réponse #14 le: 19 novembre 2007 à 22:58:44 »
magnifique en blanc !
Combien ca coute ce joujou ?