Après une bonne journée de boulot avec bon nombre de clients et,au joie,une livraison de 47 colis dont le plus léger pesait 6,5kg (mon épaule l'en remercie),j'enchaîne avec la répète. Sax sur le dos et casque sur la tête,je m'y dirige accompagné de gros nuages dépressifs et un tonnerre bien présent.cette situation a évolué très rapidement avec l'ajout de trombes d'eau! L'hôtel de la musqué,j'y arrive enfin,certes avec les chaussures & chaussettes,pantalon (& caleçon) trempés mais motivé.
Personne!
Appel aux soufflants:
"bah non,ya pas répète! T'as pas lu tes mmmaaaaiiiiiilllllllllllll!!?!"
Il parait que l'on va mieux en parlant,cela évite de garder des contrariétés en soi.
Je suis donc reparti content, mouillés et prêt à l'être de nouveau.
dans ces cas là, soit on pète les plombs en gueulant comme un taré...soit on est tellement deg qu'on repart sans rien dire, voire, on sourit 
Les deux, avec cri primal comme dirait Phil 
j'ai déjà fait ça....comment ils ont sursauté autour de moi
du-coup, je me suis trouvé un peu minable, ça m'a fait sourire et j'ai lancé "essayez M'sieurs Dames, lâchez prise"....plus les gens me regardaient l'air ébahis, plus ça me faisait marrer
Faut pas grand chose pour passer pour un taré
