Vous vous souvenez, il y a un an, j'expliquais qu'un gros connard m'a percuté (enfin, s'est appuyé sur a moto)
Je reçois quasiment un an après une LRAR (datée du 14 juin) de son assurance indiquant que je ne me suis pas arrêté (faux) et que je ne lui ai pas laissé mes coordonnées (faux). Or, j'ai bien les siennes, mais ce FDP a changé de N°. De plus il brandit son témoin bidon...
J'ai renvoyé un mail à son assurance avec les photos de sa BAR pourrie et de la main courante déposée le lendemain de "l'accrochage"
Demain (ou lundi) je contacte mon assurance, on verra bien mais bon, je sens le truc galère
Ici le détail de ma version :
Le 15/04/16 vers 18h05 sur l'avenue des champs Elysées en allant vers la place de la concorde (quelques centaines de mètres après l'Arc de Triomphe), je me trouvais avec ma moto sur la voie du milieu. Le trafic était très encombré. Il y avait des ralentissements encore plus importants sur la voie de gauche de par des véhicules souhaitant tourner à gauche.
Etant en train de suivre ma file du milieu où je me trouvais, soudainement, j'ai senti quelque chose s'appuyer sur l'arrière de ma jambe et en même temps sur la cale-pied arrière gauche de ma moto (pas de choc). Je me suis retourné pour essayer de constater la cause de cet appui.
Un véhicule de marque Opel Astra bleue nuit immatriculée
BAR POURRIE se trouvant sur la file de gauche venait de tenter de contourner les véhicules devant lui par la droite en changeant de direction pour se diriger sur la voie du milieu où je me trouvais sans regarder avant de changer de direction. Après s'être appuyé sur ma moto, le-dit véhicule s'est ensuite porté à ma droite brutalement et sans aucune vérification. Le conducteur de ce véhicule m'a crié qu'il fallait faire un constat en m'indiquant que j'avais doublé par la droite, ce qui était faux car je suis toujours resté sur la file du milieu.
Je me suis arrêté pour essayer de comprendre ce qu'il se passait. C'est à ce moment que j'ai vu que la pare-choc de ce véhicule sur la partie droite était affaissée et que les supports de ce pare-choc étaient grossièrement recouverts de ruban adhésif de couleur marron, attestant d'une réparation de fortune effectuée avant cet "accrochage" du 15/04.