Une rapide photo, en cuir sous le soleil, on commence a avoir les bonbons qui collent au papier
Direction Piana et sa station service
… il est 12h15 et elle est fermée
on fonce à la supérette pour acheter la bouffe et direction une plage que nous a conseillé un pote à carb’ et confirmé pas Santana.
Arrivé sur le parking on se tâte entre laisser les baloches ou les emmener sur la plage, voir même les cachées dans les fourrés. Carb’ et moi étions à peine entrain de commencer à réfléchir que Pascal, d’un pas décidé, se barre tout équipé en laissant les baloches. 10min d’intense réflexion
on décide de faire pareil. On se fout en maillot et direction à la plage. Je ne sais pas comment je me suis démmerder mais je n’arrive pas a faire 20m sans semer un truc un coup c’est une botte puis, un gant, puis une autre botte
. Pendant que je ramasse toute mes merdes, le charme du tombeur de la ménagère de plus 70ans commence à opérer
… la fiotte se faire drager de façon ostentatoire par Germaine
.
Pascal est déjà en maillot, nous attends une belle petite plage entre les calanches. Une bonne petite baignade. Ce bon bain , ma fait du bien … il ne peut plus nous arrivé d’affreux maintenant . Carb’ nous sort son tout dernier joujou le nikonos 5
(revêtement anti-derapant orange, de nombreux réglages, totalement étanche, avec possibilité de jouer en mode automatique ET en manuel, de grosse section est bien lourd
pouvant s’adapter a tout les diaphragmes …. un bel appareil photo quoi
) . On va passé sur le fait que se couillon ne sais pas s’en servir
pour rembobiner le film c’est tout une histoire, il suffit de tirer la molette siffle: . Un bon case dalle pâté, jambons fumés, fromage (plutôt costaud) . Apres avoir profité ce cette super pause on se remet en route jusqu'à la station (ou je ne chercherais pas ma CB
),
en route direction Ajaccio, par Cargèse, Sagone, Calcatoggio . Le Ciel commence à devenir gris, et ce soir on sait très bien qu’il va pleuvoir, le camping de Porticcio ne loue pas de bungalow à la nuit Pascal commence à flipper sa mémé, il part voir un gite puis un hôtel pas trop loin, l’un est complet l’autre est à 70€ . Nous laissons les cartes du jeux à Pascal, qui abattra la carte Camping
. A peine nous avion planté le dernier piquet de la dernière tente, qu’il se met à pleuvoir et pas qu’un peu
. Nous resterons un peu à l’abri a coté des éviers à vaisselle, avant de se décider à aller manger à la pizzéria.
Nous aurons la chance de tomber sur un bon gros groupe de Motards de je ne sais plus ou, des bons gros beauf à grande gueule
. Dont un avec un side que l’on croisera 3x et les 3x il était en train de laver sa bouse
.
A la fin du repas le cuistot me demande (avec l’accent corse) elle était bonne la pizzz ? avec un air de « si tu me dis non, je te fais péter la tente »
.
Retour aux tentes il pleut toujours autant
la fiotte et moi décidons de passer aux choses sérieuses : la Poire
, pendant que Pascal part dans sa piscine
Apres avoir refait le monde devant 2 bouses de sucekiki, au lit … toujours avec tout le matos dans les tentes on sera encore collé serré
Il pleuvra quasiment toute la nuit