Coucou les binous !
Bien rentré de mon côté, lesté d’un estomac complètement dilaté et rempli ; et si je regrette de n’avoir pas revu certains potes retardés ou bloqués par les aléas de la vie, de la grève, ou de la circulation parisienne, ce fut un plaisir de revoir les autres de toujours aussi joyeuse compagnie. Avec une petite mention pour le fuyard lyonnais d’adoption qui nous manquait quelque peu depuis son départ pour la Capitale des Gaulles.
Satisfait également d’avoir pu porter la bonne parole et achever d’installer à jamais au plus profond des tripes de Monsieur et Madame Nollib le besoin impérieux et urgent d’acquérir une Dayto 955 (à jantes noires idéalement, mais tout le monde ne peut prétendre aux sommets de l’art et du bon goût).
En outre, merci à tous de m’avoir (fort bien) nourri de ces multiples délices moyen orientaux que j’affectionne tout particulièrement.
Au plaisir de revoir les absents (TOUS les absents
) la prochaine fois.