J'ai trouvé ça au cas où:
Qu’il s’agisse d’une démission, d’une rupture amiable ou d’un licenciement (sauf faute lourde), si vous quittez l’entreprise, vous devez toucher une indemnité compensatrice des congés que vous n’aurez pas pu prendre avant de partir. D’abord, vous devez compter les jours de congés que vous avez accumulés au cours de la période de référence, c’est-à-dire, en général, entre le 1er juin et le 31 mai de l’année suivante (ou entre le 1er janvier et le 31 décembre, si votre convention collective le précise). Ensuite, il y a les congés que vous aurez acquis depuis le 1er juin (ou le 1er janvier) jusqu’au jour de votre départ effectif, soit 2,5 jours par mois de travail en plus.
Exemple : votre entreprise comptabilise les congés entre le 1er juin et le 31 mai et vous la quittez le 1er août 2009.
Votre indemnité se composera des jours de congés payés non pris, acquis au cours de la période 1er juin 2008 au 31 mai 2009, plus des congés payés acquis entre le 1er juin 2009 et le 1er août 2009.
Bien sûr, l’indemnité ne peut pas être inférieure à la rémunération que vous auriez perçue si vous aviez travaillé pendant cette période.
Visiblement la période de préavis semble entrer de le calcul des droits à congés payés.