Lisez ceci par exemple:
http://media.groupe-dasilva.com/docs/BT-122.pdf
Page 2, point 2. Les étriers coulissants (ce qui nous concene avec nos disques flottants)
"Le joint de section carrée du piston assure l’étanchéité et lors du déplacement du piston, il se déforme. Puis, lorsque le conducteur cesse son action, la pression hydraulique tombe, le retour du joint à sa forme d’origine permet le rappel du piston, le rattrapage est automatique."
C'est aussi ce principe que m'a décrit mon mécano...
Qui croire?
Sur la même page, je lit :
"Les plaquettes sont libérées d’un côté par le recul du piston, de l’autre par le voile du disque. Le système se recentre automatiquement."
Je rejoint l'avis de Phil 38, c'est le léger voile du disque qui assure le retrait des plaquettes en grande partie. Sur mes motos, il m'est arrivé d'avoir les plaquettes collées contre les disque après les avoir stockées quelques temps à l'humidité, un simple déplacement de la moto suffit à les débloquer. D'autre part, sur la semi épave qui me sert de Trident, avec ces joints d'étrier d'origine et graissés ( ou pas ) avec ce que j'avais sous la main ( wd 40, graisse de chaine, beurre de cacahouète
), si c'était ces joints qui assuraient uniquement les retraits des plaquettes, ça fait longtemps que je me serrais pris un stoppie au cours d'une balade
Faut pas croire que le fonctionnement d'un étrier de frein est aussi subtil que ça, et ne tient qu'à l'état d'un joint en caoutchouc susceptible de lacher à n'importe quel moment, heureusement, sinon y aurait du dégat en bas des cols