Nico, s'ébahir devant le talent des pilotes, ok.
On comprend tous qu'il nous en manque beaucoup , et ça nous fait réver.
Mais là, on parle de notre passion, au plus haut niveau sportif.
Qu'il y ait la moindre preuve d'un **arrangement** dans ce sport par essence individuel, c'est exactement le contraire de ce que j'aime ici (comme en tennis, ou en ski).
Alors oui, on peut avoir les yeux écarquillés devant le trajectoire de X, ou les freinges de Y, mais pour moi, c'est un peu premier degré.
C'est d'ailleurs pourquoi nous nous enflammons (signe de bonne santé mentale).
Et pour en revenir à la course d'hier, comme le disent Seeli ou Zampa, nous devrions tous avoir un gout amer au vu du fil blanc avec lequel elle était cousue.