Tout ce que je peux dire est qu'en ce qui me concerne, j'ai besoin de m'appuyer sur des décisions nettes sans demi-mesures. Après, on a effectivement pas tous les mêmes psychologies et du-coup, les mêmes façons d'appréhender ce genre de décision qui, quelque soit la méthode, demande beaucoup de volonté sur le (très) long terme.
J'ai arrêté d'un coup...mais en me préparant longuement avant. Et ça a marché (arrêté il y a 10 ans). Mais il est clair que l'on reste fumeur des années et je pense qu'il faut prendre la décision d'arrêter en acceptant cette idée pour rester vigilant.
Se préparer avant signifie quoi pour moi : quelque soit la méthode (progressivement, d'un coup etc), il faut à mon sens réllement se convaincre au préalable sois-même qu'il est temps d'arrêter. Pour ma part, je me demandais comment j'allais faire sans ma bonne clope du matin avec un bon café (par exemple). Comment remplacer tout ça, trouver les alternatives et compenser le manque. Je peux vous dire que le simple fait de me poser ces questions me stressait mais pour moi, c'était le passage obligé si je voulais réellement arrêter
Si on accepte de se poser toutes ses questions des plus chiantes qui pour moi sont un prérequis à la décision d'arrêter, c'est déjà un pas très important sur lequel s'appuiera plus facilement la décision et la (très forte) volonté et détermination d'arrêter. Ensuite, pour ne pas reprendre, j'en ai fait une question d'orgueil
Voilà, c'est juste un témoignage et un avis
