Le problème, c'est que j'ai 262 photos. Et bon, j'ai la flemme de trier.
Bref.
La plupart le savent ici, grâce à une amie qui bosse pour Le Monde (le journal hein...), j'ai pu obtenir un press pass pour l'EICMA 2016, Mme aussi. Et je dois bien avouer que ça nous a permis de visiter le salon de la moto de Milan sous un autre angle, bien agréable.
Mardi soir, 18h, Mme vient me chercher à la sortie du boulot, hop, direction Italie. Nous ne sommes qu'à 350km de Milan, mais bon, on a envie de prendre un peu de bon temps, du coup, on fera une pause pour la nuit à Alessandria, comme ça, il ne nous restera que 100km à faire pour rejoindre Milan le mercredi matin.
Mercredi matin, après avoir longuement discuté au petit déjeuner avec un italien affolé parce que Trump était le nouveau président des USA
, nous prenons la route pour Milan. Et Milan ben... c'est bordélique, il faut bien le dire, du coup, on a mis un peu de temps à rejoindre la foire expo.
Une fois sur place, on se dit qu'il y a tout de même énormément de monde. Pourtant, c'est une journée réservée à la presse et autres médias. Mais bon, il faut croire que l'EICMA est un salon d'envergure, voire sans doute le plus gros salon moto de l'année, du coup, cela draine un nombre incroyable de personnes.
Arrivé dans le hall d'entrée, il y a pas mal de personnes qui font la queue pour avoir une entrée, quant à nous, on se dirige vers la file "press & media" , un peu ingénus, ne sachant pas comment faire. Nous nous étions enregistrés via le site web de l'Eicma, mais dans le doute, nous avons préféré nous mettre dans la file d'attente.
Là, une dame qui ne parle qu'italien tente de nous expliquer que "vous n'avez pas à attendre, vous avez déjà votre ticket en main, vous pouvez vous rendre directement en press room, c'est en haut, au premier étage"...ah, alors si la dame elle dit que c'est ok, alors allons y.
Du coup, hop, on abandonne la file d'attente pour nous rendre directement en salle de presse. Et j'avoue que c'est pas mal. Fauteuil, wifi gratos, des bureaux pour bosser et surtout, le lounge qui nous permet d'avoir boissons, cafés et autres mignardises à l'oeil. Sympa.
Nous sommes au milieu de média connus, comme les mecs de chez Motorcycle News ou Visor Down, on fait un peu tâche dans le lot, mais on s'en fout, on a un pass.
Après un espresso italien (putain, comment ils tabassent leurs espressos
), on se décide à descendre voir les nouveautés du salon. Comme des gosses au matin de Noël.
Et plutôt que de longs discours qui vont endormir tout le monde, je laisse place aux photos.
D'abord, le stand Kawasaki :
Le stand KTM :
Le stand Husqvarna :
Le stand
Hipster Triumph :
Juste un commentaire : vu l'ambiance et la configuration du stand Triumph, clairement, ils ont décidé de viser une clientèle hipster/bobo/gentlemen rider. Affronter frontalement la KTM Superduke 1290 R ou la BMW S1000R, pour ne citer que ces modèles, c'est du domaine du rêve pour nous. Du moins, pour le moment. Ne vous attendez à aucune révolution de ce côté.
Le stand Honda :
Le stand BMW (si si la famille
) :
Le stand Aprilia :
Le stand officiel du championnat SBK :
Une innovation de TomTom assez bien vue :
Un petit écran qui se fixe sur le rétro et qui déporte l'affichage de votre téléphone. Ca fait un GPS pour pas cher :
Ducati ! Si ! :
Forcément, l'incontournable :
Et ses copines de jeu :
La GSXR du SERT, championne du monde 2016 :
Une Brough Superior :
Honnêtement - et ça n'engage que moi - c'est super moche en live. Tout en longueur, des proportions étranges. Bref, pas fan.
Une belle prépa Triumph Bonneville chez Ohlïns :
Les casques Marvel et Star Wars chez HJC :
Mettez de l'angle comme les grands chez Suzuki :
Chez Dainese, on voit les choses en grand :
Et on peaufine l'airbag :
Le moment "what the fuck" du salon :
Un stand de jambons et saucissons au milieu des stands motos, notamment MV Agusta
Du beau monde à venir sur le stand Sidi :
Ce stand prenait beaucoup de place. Vraiment beaucoup :
Quelques oldies :
Le proto Yamaha sur la base du bicylindres de la MT-07 :
Alors que chez Shoei, on se pignole grave (
) :
We were here :
Voilà
Je vais être honnête, avoir un press pass fut un privilège énorme. Nous mesurons la chance que nous avons eu de pouvoir vivre l'EICMA dans de telles conditions et nous avons hâte d'être à 2017 pour le refaire.
Et cette fois, promis, j'irai faire un bisou à Lorenzo.