Je vais pas lancer un débat, je sais que ça serait stérile. Et je comprends bien que des gens qui bouclent très difficilement les fins de mois ne voient actuellement pas d'issue à leur condition difficile, et qu'ils ont envie, besoin, que cela change pour eux. Mais partir du principe que "les pauvres" sont sur les rond-points, et que ceux qui n'y sont pas sont forcément des nantis, donc des adversaires, je trouve ça "bas de plafond"(Ce matin, une collègue a par exemple été obligée d'enfiler un gilet jaune sous la menace pour passer au volant de sa bagnole). Bref, ces gens se trompent de cible, vont se mettre très rapidement 60% de la population à dos, et tout ça risque de mal tourner.
Je ne conteste pas la motivation (chacun est libre de penser et d'agir comme il le veut), mais le mode d'action.