Je vais essayer de parler simple mais pas si facile que ça, il y en a qui vont dormir avant le fin.
En premier le maillon faible dans une chaîne de reproduction du son sera l'enceinte.
La transformation électrique en mécanique acoustique est celle qui donnera le plus de distorsion à l'écoute et donc la conception des enceintes, les tests, les essais sont longs très long et demande des heures et des heures et des moyens.
On a la chance d'avoir en France de bonne société dans ce domaine et depuis des années.
Si on regarde bien, mise à part l'évolution des matériaux on a toujours le bon et vieux HP.
Pour faire simple l'idéale en enceinte est un système 3 voies afin de partager le spectre audible en un ou deux HP pour les graves, un HP pour les médiums et un HP pour les aigus. Néanmoins pour faire ceci on aura besoin de filtres à base de condensateurs, selfs, résistances et mettre au point un bon filtre est hyper compliqué, je ne rentrerai pas dans le détail.
Mais le nec plus ultra est entre la source et les HP des filtres dits actifs et un ampli par HP, mais le prix de revient sera en hausse, mais ça existe et je l'ai fait.
Un truc que j'ai aussi réalisé c'est des panneaux composés de plusieurs petits HP de 10cm de diamètre, de qualité et de 8 ohms d'impédance et combinés parallèle série pour avoir une impédance finale de 8 ohms. Par exemple 16 HP permet de faire cela.
Il existe aussi les HP dit coaxiaux et l'enceinte n'aura qu'un seul HP de ce type, le précurseur est Tannoy dans ce domaine et il est encore très bien placé.
Voilà pour les HP le maillon qui prend de la place et qui peut coûter la peau des fesses, mais ne le négligez pas, mieux vaut une bonne enceinte qu'un super ampli
Les amplis :
Voici un lien de celui que j'ai réalisé il y a des années et c'était le premier ampli en technologie MosFet complémentaire en Europe et aux US il y avait David Hafler.
Puissance 2*50W, bande passante 0.1Hz à 150Khz à -1dB, classe A jusqu’à 5W puis classe AB.
Sur le modèle en photo ouvert le transfo fait 600W, avec un filtrage de plus de 60000µF ce qui permet un rendu dans les graves incomparble.
http://6bm8.lab.free.fr/Documentations/Revues/Audiophile/1977-1988/24/MOSFET/MOSFET.htmlIl y a eu en premier las amplis à Tubes et il y en a encore ça n'a jamais disparu comme les vinyles, le maillon faible est le transformateur de sortie. Le son des tubes est très particulier on parle d'un son chaud, comme la chaleur des lampes
Après il y a eu les transistors et encore très très utilisé, puis les MosFet qui se rapproche de par leur conception du tube.
Mais surtout ce dont on ne parle pas en tant qu'utilisateur Lambda c'est les classes d'amplification.
Le nec plus ultra c'est la classe A mais ça chauffe, ça demande de la place et ça coûte cher, mais c’est la plus linéaire.
Ensuite on a la classe AB, ça permet aux faibles signaux d'être en classe A et de passer en classe B lorsque le niveau augmente. C'est la classe des amplis des années avant 2000 et ils se fabriquent encore.
Ensuite on est passé en classe D, avantage le rendement, le signal est découpé comme des signaux numériques et pour aller vers l'enceinte on filtre et on filtre pour avoir un signal dit parfait mais en réalité on ne l'aura jamais.
Ensuite on entend parler de distorsions
Celle que tout le monde met en avant car facile à résoudre c'est la distorsion harmonique mais l'oreille ne la sent pas trop sauf si elle est importante :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Taux_de_distorsion_harmoniqueMais on a aussi la distorsion d'intermodulation, et elle se ressent à l'écoute, mais vous ne verrez pas sa valeur sur les specs des fabriquant et pour causes, c'est la plus dure à résoudre.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Distorsion_(%C3%A9lectronique)Après il y a eu les transistors et encore très très utilisé, puis les MosFet qui se rapproche de par leur conception du tube.
Mais surtout ce dont on ne parle pas en temps qu'utilisateur Lambda c'est les classes d'amplification.
Le nec plus ultra c'est la classe A mais ça chauffe, ça demande de la place et ça coûte cher
Ensuite on a la classe AB, ça permet aux faibles signaux d'être en classe A et de passer en classe B lorsque le niveau augmente. C'est la classe des amplis des années avant 2000 et ils se fabriquent encore.
Ensuite on est passé en classe D, avantage le rendement, le signal est découpé comme des signaux numériques et pour aller vers l'enceinte on filtre et on filtre pour avoir un signal dit parfait mais en réalité on ne l'aura jamais.
Ensuite on entend parler de distorsions
Celle que tout le monde met en avant car facile à résoudre c'est la distorsion harmonique mais l'oreille ne la sent pas trop sauf si elle est importante :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Taux_de_distorsion_harmoniqueLe test idéal pour voir la qualité d’une chaîne c’est le minimum de maillons.
Par exemple :
Un bon lecteur CD qui va sur une petite boîte avec un potentiomètre et la sortie en direct sur l’ampli, rien d’actif entre les la source et la partie puissance. Mais peut être que le signal de la source nr permettra pas la puissance max mais déjà vous en aurez plein les oreilles et la pièce d’écoute sera le maillon faible, vibrations , résonances, etc….